motards pour la liberté


jeudi 28 juillet 2016

Les Allemands payent, lourdement, le prix du sang. Dont la responsable s’appelle Merkel. Merkel et sa folie idéologique, suicidaire pour le peuple allemand. Mais cette fille de pasteur, employée longtemps par la Stasi avant de s’acheter un passeport d’honorabilité en passant au service des chrétiens-démocrates, ces larbins du Vatican et de la Maison Blanche, n’a que faire du peuple allemand. Qui doit expier pour tous les péchés qu’il a commis, comme le dit l’enseignement de la Bible. Mais il faut, paraît-il, aimer ses ennemis, si l’on en croit les chrétiens. Et ceux-ci doivent ouvrir grands leurs bras à leurs frères musulmans, car l’islam est une
religion d’amour, de paix et de tolérance. En a fait l’expérience le malheureux prêtre catholique égorgé le mardi 26 juillet, au cri de « Allah Akbar », alors qu’il célébrait la messe dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray, en Normandie. Il avait 86 ans. Bel exploit de ses courageux assassins. Le pape exprime « sa douleur ». Pauvre type. S’il était digne de sa fonction il appellerait à la croisade. Mais il préfère se joindre au chœur des lamentations, qui fait bien rire les fous d’Allah. Tandis que les « autorités musulmanes » dûment estampillées par la République française versent des larmes de crocodile. En serrant quand même un peu les fesses : des fois que les Gaulois finiraient par se réveiller et par appliquer la loi du talion… Mais il faudrait, pour cela, qu’ils s’émancipent de la chape de plomb du politiquement correct, mise en œuvre par les autorités officielles et les media aux ordres. Hollande découvre la lune et déclare, effaré, qu’on est en guerre. Bien.
Alors il faut faire la guerre. La vraie. Celle qui frappe sans faiblesse, sans hésitation. Mais pour cela il faut avoir quelque chose dans le ventre – et plus bas. Les occidentaux payent leur lâcheté et leur bêtise. Tant pis pour eux. Mais la colère monte contre les incapables et les traîtres censés protéger la population. Aux Européens qui méritent encore ce nom de savoir ce qu’ils ont à faire. En envoyant se faire pendre les pleurnicheurs et les donneurs de leçon de morale.
Pierre VIAL

via zentropa

lundi 18 juillet 2016

Vous pouvez leur donner tous les papiers que vous désirez, des passeports, des cartes d'identité et qu'ils soient sur notre sol depuis trois générations, cela fera d'eux peut-être des Français, des Italiens ou des Allemands sur le papier, ils ne seront jamais européens, jamais héritiers d'une tradition.
Aux cris de terreur des femmes et des enfants sur la Promenade des Anglais répondent les cris de joie qui partent des banlieues de la part de tous ces “citoyens”. Vous nous dites de ne pas faire d'amalgames, vous êtes les coupables du double jeux. Vous nous dites que nous sommes racistes, vous êtes venus chez nous, vous prenez et ne rendez que du mépris.
La vérité, et l'histoire le montre, est que nous avons une tradition d'hommes et de femmes d'honneur, libres, aventuriers, altruistes et inventifs, des héros, des saints et des génies alors que votre civilisation est basée depuis la nuit des temps sur l'esclavage envers des maîtres ou un dieu, sur la razzia, le tribalisme et le fanatisme des simples d'esprit.
Vous avez trouvés des alliés chez les élites apatrides qui voient en vous une source de voix ou d'argent. A leur différence, vous avez bien compris qu'il s'agit d'un choc autrement moins matériel quand des jeunes sortants du Mcdo, Nike au pieds se réjouissent de la mort de gamins.
Rassurez-vous certains ont bien compris l'enjeu de cette lutte. Nous nous souvenons nous aussi que Marathon, les Thermopyles, Poitiers, Antioche ou Lépante furent plus que de simples batailles. Nous ne sommes pas tous prêts à échanger nos 3000 ans d'histoire pour le néant et le chaos dans lequel vous vous complaisez.

VIA zentropa.
 

Patriot Rider DUX Tour 2016



le mot de la fin

Communiqué officiel du Mouvement d’Action Sociale
Chers camarades, amis et soutiens, à tous,
Au terme de huit années d’existence, le Mouvement d’action Sociale cesse ce soir toute activité militante.
Loin d’être un échec, un abandon ou une fuite, cette décision manifeste simplement la clôture d’une phase de travail.
La prise en compte des nouveaux enjeux et impératifs de ce temps, les transformations radicales des formes de luttes, appellent à de profondes mutations qui doivent être réalisées maintenant car sinon demain se fera sans nous. D’autres lignes de front nous engagent déjà, nous portons notre détermination et nos principes sur ces horizons.
Nous tenons ici à saluer et remercier la grande communauté de tous ceux qui nous ont soutenus.
Nous saluons également avec chaleur et amitié la grande cohorte des militants du M.A.S, exemplaires souvent, présents toujours.
Sans nostalgie ni peine en ce soir du solstice d’été, de renouveau du soleil invaincu, nous disons donc adieux au M.A.S et célébrons l’avenir.
« Adhuc tua messis in herba est »
Arnaud de Robert pour le Directoire du M.A.S.