vendredi 30 janvier 2015
samedi 17 janvier 2015
vendredi 16 janvier 2015
Allocution d'Arnaud de Robert au congrès du GUD "Le réveil des nations"
Note du C.N.C.: Le texte suivant
reprend l'allocution prononcée par Arnaud de Robert, porte-parole du
Mouvement d'Action Sociale (M.A.S.) au congrès du GUD "Le réveil des
nations" qui eut lieu le 22 novembre 2014 à Nanterre (Compte-rendu ici). C'est un texte d'un grand intérêt qu'il convient de lire et de méditer.
Mes chers camarades, avant de prendre la
parole sur le sujet qui nous préoccupe aujourd’hui, je tiens tout
d’abord à saluer et remercier les organisateurs de ce meeting pour la
remarquable journée qu’ils nous permettent de vivre. Leur persévérance,
leur sérénité et leur volonté est la meilleure preuve que quand on veut,
on peut.
Je tiens aussi à saluer les camarades
des délégations européennes qui par leur présence manifestent comme nous
tous ici leur attachement à l’édification de la Grande Europe.
Je tiens enfin à vous saluer vous tous,
camarades, militants du MAS ou d’autres organisations, sympathisants
actifs, combattants parfois isolés qui êtes venus souvent de loin pour
trouver ici l’énergie nécessaire à la poursuite de notre dur combat.
Le réveil des nations ou le réveil des peuples ?
Lorsque les organisateurs m’ont parlé du
thème de ce meeting – Le réveil des nations – je me suis employé,
pendant quelques jours, à observer les signes de ce réveil en passant en
revue l’actualité d’un grand nombre de pays du continent européen.
Il ressort de cette brève analyse deux choses frappantes :
Sur le plan électoral d’abord, on
remarque sans peine une hausse plus ou moins significative des
mouvements nationaux, patriotes, anti-Union Européenne. Je ne m’étendrai
pas ici sur l’importante variabilité des socles doctrinaux de ces
mouvements, ni même sur les hostilités inter-mouvements ou
inter-dirigeants qui peuvent exister et qui ont donné d’ailleurs un bien
triste spectacle lors de l’organisation des groupes parlementaires au
parlement européen.
Je soulignerai plutôt l’autre donnée
électorale importante à savoir l’explosion de l’abstention, forme
populaire et brutale de délégitimation du pouvoir oligarchique.
Mais surtout, j’aimerais porter à votre
attention la seconde observation, celle qui m’a paru la plus
significative. Je l’ai appelée la riposte des peuples.
Partout en effet, on peut observer que
la contestation électorale se double d’une protestation populaire
diffuse, multiforme mais profonde et de grande ampleur.
Au travers d’une multitude d’initiatives
locales, prises souvent sous la violente contrainte de la crise
économique et financière, nos compatriotes français et européens
réorganisent des formes de solidarités actives. Les projets germent
partout, sous des aspects inattendus et démontrent une vitalité que nous
avons longtemps sous-estimée … et que nous sous-estimons encore.
Nous qui sommes militants, engagés et je
dirais même enragés, nous avons en effet souvent tendance à prendre la
défense du peuple tout en en dénonçant l’apathie, la lobotomisation, le
caractère moutonnier et consumériste. Nous allons parfois très loin dans
ce raisonnement, rejetant nos propres insuccès sur la bêtise et la
passivité supposées de nos concitoyens. Et d’entendre les « Mais
qu’est-ce que tu veux y faire, ils ne comprennent rien », « ils sont
aveugles » … Que c’est pratique ! Que c’est facile !
Or, nous commettons là une lourde erreur
d’appréciation. La vérité est que les peuples européens, malgré la
puissance destructrice du rouleau compresseur de la société de
consommation ont su préserver une forme d’intelligence instinctive. Une
intelligence de survie et donc un potentiel de régénération.
Depuis quelques années, nos compatriotes
et particulièrement ceux qui parmi les plus pauvres se rendent
lentement compte du désintérêt total de l’oligarchie. Oubliés, délaissés
car économiquement inintéressants, ils s’organisent par nécessité et
découvrent par là-même qu’ils n’ont plus non plus besoin de l’oligarchie
politico-financière pour s’organiser.
Face à des structures étatiques en
complicité d’impuissance avec les banques et dirigées selon la formule
célèbre de Karl Marx par des « fondés de pouvoir du Capital », les
peuples qui souffrent trouvent en eux les ressources d’un commencement
de riposte.
C’est donc bien plutôt à un réveil des peuples
qu’à un réveil des nations auquel nous assistons. La crise économique a
généré un véritable bouleversement des structures sociales et de la
répartition de nos populations.
Aux bobos, aux nantis, aux oligarques,
aux minorités agissantes et aux migrants starifiés, les grandes villes
high-tech devenues des tours de Babel mondialisées.
Aux victimes de la crise, aux petits
blancs, aux sans-dents comme dirait le comique en scooter de l’Elysée,
il reste les grandes banlieues quand elles ne sont pas totalement
occupées, les zones périurbaines et la ruralité plus ou moins sinistrée.
Ce grand exode, massif et silencieux est une véritable révolution
sociologique des territoires et appelle toute notre attention. La
hausse brutale et surprenante des résultats du FN (quoi que l’on pense
de ce parti) aux élections européennes dans l’Ouest de la France -
autrefois terre de mission - en est un indicateur patent.
Ces oubliés des territoires
périphériques, délaissés par les structures étatiques mais écrasés par
la fiscalité et les mesures vexatoires (éloignement, proximité forcée
avec les masses immigrées) se retrouvent dans l’obligation de trouver
des solutions par eux-mêmes et font émerger de nouveaux modes
d’organisation qui débouchent sur des formes de reprise de pouvoir, de
souveraineté.
Ne pas les voir c’est passer à côté
d’un levier de combat. Ne pas s’engager avec nos compatriotes dans ce
processus, c’est manquer d’esprit révolutionnaire et surtout, passer à
côté d’une occasion historique de diffuser nos idées.
Nous avions l’habitude de penser que
nous étions en quelque sorte les détenteurs légitimes de la révolte des
paroles et des actes (sorte d’autopromotion injustifiée que nous
partageons avec une partie de l’ultra-gauche).
Mais une fois de plus, l’histoire nous
surprend et, des bonnets rouges aux coopératives ouvrières, des paysans
qui s’organisent pour vendre eux-mêmes leur récoltes aux initiatives
décroissantes, localistes, écologiques et anti-consommation toute une
frange de notre peuple réagit et construit parfois inconsciemment les
outils de contre-pouvoir.
J’irai même jusqu’à dire et affirmer que
les ZAD font partie de ce mouvement d’ensemble. Je n’ai aucune espèce
de sympathie pour les clowns à dreadlocks qui dansent devant les
gendarmes, mais j’avoue en avoir encore moins pour les forces de
« l’ordre », chiens de garde du Système.
Quoi qu’il en soit, dans ces ZAD en lieu
et place des bobolches, nous devrions trouver des gens comme nous, car
nous sommes et devrions être les premiers défenseurs de notre terre.
Alors pourquoi eux ? Pourquoi pas nous ?
La vérité est je crois que nous passons
bien trop de temps à dénoncer et à nous lamenter et pas assez à analyser
et construire. Et quand nous le faisons, bien peu suivent.
Il y a des gens sérieux et intelligents à
l’ultra-gauche. Ils ont posé depuis un moment des constats clairs sur
l’ennemi libéral et en ont tiré des conséquences fécondes auxquelles ils
donnent aujourd’hui un caractère offensif et opératif. Nous ne les
partageons pas toutes, évidemment. Eux veulent le chaos, nous nous
voulons que le chaos soit créateur d’un ordre nouveau. Cela nous
séparera toujours sur les fins, mais cela ne doit pas nous empêcher de
penser que sur certains points les analyses proposées sont justes.
Et notamment sur la désignation de l’ennemi.
On nous abreuve ces derniers temps
d’images de gamins barbus, convertis et sanguinaires en tentant de nous
faire croire que là réside le plus grand danger. On tente d’ailleurs de
nous coller les djihadistes dans les pattes comme si nous avions par
nature, dans une forme de racisme imbécile, en appétence particulière
pour les excités en turban. A croire que pour le Système les
nationalistes radicaux, les militants identitaires européens se résument
à une bande de beaufs éructant du « bougnoul » à tout bout de champ.
Les médias jouent les faux ingénus et
les vrais faux-culs en faisant semblant de découvrir que quarante ans de
souillure de la France, de son histoire, de ses racines et de son
génie, que quarante ans de partouze psycho-culturelle avec l’exotisme
planétaire, le saint dogme des « Droits de l’Homme », la névrose
consumériste et la paupérisation croissante n’ont pas produit le gentil
citoyen mondialiste mais de jeunes mort-vivants qui haïssent la société
qui les a tordu et qui par vengeance embrassent la seule « verticalité »
présente entre les tours grises de banlieue : l’Islam.
Je ne crois pas à cette « jolie »
histoire poussée par le pouvoir. Je ne crois pas à cette nouvelle forme
d’obscénité obligatoire qui veut que l’on phantasme sur « le méchant
barbu. Nous avons passé l’âge du grand méchant loup, surtout quand
celui-ci a été fabriqué par la puissance américano-sioniste.
L’islam n’est pas l’Ennemi, elle est
l’un des instruments que l’oligarchie utilise pour détruire les peuples
européens, tout comme le sont la violence économique et sociale,
l’amnésie historique et civilisationnelle ou le remplacement de
population par l’immigration.
Mais alors qui est l’ennemi ? Notre
ennemi, vous le savez, est depuis toujours le même. Il s’appelle
Jean-Claude Junker, Macron, Rothschild, Lehmann Brothers, FMI, BCE,
banque, crédit, salaire … Il a tous les noms, il n’en a aucun. Cela n’a
pas d’importance. Nous l’appellerons néolibéralisme, mais il peut
s’appeler le Système, la Matrice, le Capitalisme sauvage,
l’ultra-libéralisme ... C’est le pire de nos ennemis, le plus subtil, le
plus acharné et le plus incompris donc le plus mésestimé dans sa
capacité destructive.
Il se manifeste pourtant partout, à
travers une offensive généralisée contre les pays d’Europe. Il n’y a pas
de complot, tout se déroule sous nos yeux. Ce qui se met en place c’est
un autoritarisme libéral qui se globalise à l’échelle planétaire depuis
les années Reagan. Cette offensive est multiforme et incessante. Elle a
généré une nouvelle aristocratie apatride, une hyperclasse informelle
qui n’a pas de visage, qui dirige les marchés, domine les médias,
l’économie et la politique. Cette hyperclasse utilise son influence
excessive pour s’enrichir au détriment de l’économie réelle, au
détriment des peuples.
Elle est anti-nationale car ses
allégeances sont principalement atlantistes, sionistes,
pétromonarchistes. Cette hyperclasse déteste la nation et n’a de cesse
que de la détruire.
Elle est en guerre totale contre les peuples une guerre économique, financière, idéologique, psychologique, sécuritaire.
Soutenue par le conformisme des médias
aux ordres, cette offensive ultra-libérale est à la fois brutale et
invisible. C’est pourquoi elle est difficilement perceptible en tant que
menace réelle et immédiate et qu’il est plus facile de taper sur des
barbus excités. Par contre, son travail de sape est réel et pourrit
lentement mais efficacement l’âme des peuples européens.
L’objectif ? Extrêmement simple, concret
et direct : enrichir les riches et appauvrir les pauvres au mépris de
la souveraineté des Etats. L’offensive ultra-libérale relance ainsi la
guerre des classes mais verticalement, du fort au faible à l’échelle
mondiale. Cette guerre peut devenir conflit au besoin comme en Syrie en
Irak, en Afghanistan, au Kosovo, à l’Est. Si ces conflits sont avant
tout déclarés pour satisfaire des intérêts privés (énergétiques, de
domination) ils sont légitimés depuis les attentats du 11/11 par la
« menace terroriste ».
En réalité pour l’oligarchie dominante,
les crises, les guerres, les désastres sont le moyen le plus efficace
d’imposer des mesures économiques qui seraient tout simplement
inacceptables en temps normal.
On privatise les gains et on nationalise
les pertes. En réalité, le néolibéralisme n’est pas une forme de
libéralisme mais un autoritarisme des riches. Contre notre volonté
populaire des référendum, l’ennemi a imposé son pouvoir par le parlement
de l’Union Européenne.
Cet autoritarisme se légitime par la
médiatisation massive, il utilise l’arme psychologique avant même l’arme
économique. C’est ce qui en fait un ennemi mortel. L’oligarchie, aux
travers des médias impose une guerre de l’esprit par une stratégie de la
tension permanente. Elle détruit l’idée politique, la souveraineté, le
patriotisme en les assimilant en permanence au danger de
l’extrême-droite, au spectre du « monstre fasciste ». La neutralisation
de la souveraineté populaire s’opère par la gestion permanente d’un
chaos savamment entretenu. Grâce aux sauvages du Capital, la racaille
des banlieues, le capitalisme sauvage impose son ordre. En ce sens,
comme nous le dénonçons au MAS, les immigrés sont les troupes de
protection du Capital, les meilleurs alliés de l’oligarchie. Ils
suscitent le chaos et l’on nous supprime nos libertés.
La souveraineté économique, commerciale,
industrielle elle, est détruite par les traités européens écrits depuis
Wall Street. Les négociations du TAFTA (ce gigantesque marché
euro-atlantique qui fera de l’Europe l’arrière-cour économique des
américains) montrent la totale soumission de nos gouvernants européens à
leurs maitres américains et à leurs alliés.
Les dirigeants politiques européens
dilapident les ressources et le patrimoine des peuples pour le seul
profit des marchés et de leurs structures (OMC, BCE, FMI, Euronext,
NYSE …). Ce qui s’établit sous nos yeux est un continuum de gestion
autoritaire, ultra libéral, mondial. Ce continuum a dans ses objectifs
principaux la digestion de l’Europe pour empêcher l’émergence de sa
puissance.
C’est pourquoi il est également
important de ne pas tomber dans les pièges souverainistes et
stato-nationaux. Si nous nous défendons seuls, chacun de notre côté,
campés dans une posture d’orgueil national, nous mourrons seuls. Si nous
joignons nos forces, nos initiatives, nous aurons une chance de
constituer un bloc de taille suffisante pour offrir une alternative
crédible et combattre efficacement.
Les deux grandes stratégies qui ont été employées au 19e et 20e
siècle ont montré leurs limites. La stratégie d’opposition frontale,
d’opposition armée a été maintes fois écrasée dans la sang et a produit
des milliers de martyrs pour des résultats dérisoires.
La stratégie dialectique, celle de
l’électoralisme permet un gain substantiel de notoriété pour nos idées,
mais lorsque l’on joue avec les règles de l’ennemi il ne faut pas
s’attendre à ce qu’il nous laisse gagner. En ce sens, l’élection est une
arme nécessaire mais non suffisante. Et puis, il y a une vie entre les
élections.
Le Système oligarchique est
techniquement victorieux, c’est un fait. Ses moyens de contrôle sont
colossaux. Il attend de nous que nous soyons de bons petits soldats,
faux rebelles mais vrais dindons et que nous répondions à ses
provocations par des réactions droitières, conservatrices et bêtement
xénophobes. Ainsi il pourra valider son dogme religieux préféré, celui
de la bête immonde qui menace la « démocratie ».
La question est donc simple :
allons-nous continuer à servir d’idiots utiles à nos ennemis ?
Allons-nous longtemps encore servir d’alibi au Système ?
Non, clairement non. Il est plus que
temps de proposer une alternative politique totale et en opposition
résolue au Système. Nos camarades grecs et italiens nous montrent des
pistes à suivre. A nous de fonder, de coordonner et de propager des
initiatives réalistes, innovantes et fonctionnelles. A nous d’encourager
à la reprise de souveraineté populaire, à nous d’aider le peuple à
s’émanciper du capitalisme cannibale prédateur.
Cela impose certains sacrifices comme de
sortir de notre ghetto douillet pour reprendre langue avec nos
concitoyens. Car aujourd’hui qui nous connait ? Qui nous entend ? Ce
sont les autres, nos ennemis, qui parlent de nous à notre place.
Nous devons quitter les positions
poussiéreuses et passives de la contestation, de la complainte pour nous
projeter dans le combat. Pas de nostalgie stérile et incapacitante,
mais la volonté de se remettre en mouvement, d’incarner une radicalité
dynamique.
Tout est nôtre, tout est à reprendre.
L’action exige que nous prenions part à la dissidence qui s’organise.
Elle se fera, avec ou sans nous. Nous ne devons nous interdire aucun
domaine, le social, l’écologie, l’action syndicale, associative,
l’éducation, la culture, l’art … Ni aucune forme de lutte même si cela
doit parfois passer par la force.
Face à l’omnipuissance du Système nous
devons bâtir un maillage organique et travailler à sortir nos
compatriotes des prisons financières du Capital. Il faut investir le
micro-crédit, les banques solidaires, les sociétés d’entraide mutuelle.
Il faut créer de l’activité économique pour les nôtres et selon un mode
coopératif et solidariste. Il faut retrouver de l’autonomie par rapport
au système. Les mouvements militants ne doivent plus être les
réceptacles de la contestation, mais les bases de lancement de projets
concrets, ancrés dans le réel. Il n’est pas nécessaire de voir grand. A
côté de chez vous des associations, des particuliers développent des
initiatives auxquelles vous pouvez vous cohérer, que vous pouvez
influencer ou desquelles vous pouvez vous inspirer. Le militantisme
actif, effectif est surtout local, car quel meilleur terrain de combat
que celui de notre quotidien ?
Au Mouvement d’Action Sociale nous
travaillons modestement depuis quelques années à la mise en place de ces
initiatives et à la réalisation de ces projets. Nous avons enregistré
plusieurs succès, mais il reste énormément de travail. C’est pourquoi il
faut s’y mettre tous. Nos compétences croisées, notre volonté commune
feront la différence.
Et puisque ce monde est politique, nous
devons avoir sur toutes les questions une attitude intransigeante, ferme
mais constructive. Car comme dit Aristote « La tolérance et l’apathie
sont les dernières vertus d’une société mourante ».
Opposer, proposer, agir voilà le mot d’ordre.
Ainsi, sur le plan migratoire, il faut
répondre à la violence allogène mais surtout prôner la remigration au
travers de partenariats équilibrés avec les pays de provenance.
Sur le plan international il faut plus
que jamais défendre une position de troisième voie, une position
fermement européenne. L’Europe est l’objet de toutes les convoitises
mais elle n’est ni à diviser, ni à prendre, ni à vendre.
Nous devons lever les étendards noirs de
la révolte, appeler à la colère légitime du peuple, faire souffler à
nouveau le vent de l’Histoire. Nous devons le faire dans nos quartiers,
nos villes, nos campagnes, nous devons agir en France et en Europe.
Nous n’avons pas le choix.
La guerre qui est la nôtre est décisive à
tous les titres. Elle nous verra triompher ou disparaitre en tant que
civilisation, en tant que culture, en tant que peuples et en tant que
race.
Alors, engageons-nous dans la grande
insurrection des peuples, et parce qu’il n’y a pas de fatalité mais
toujours de la volonté, nous serons les bâtisseurs de l’ordre nouveau.
Demain nous appartient !
Je vous remercie.
Arnaud de Robert, porte-parole du M.A.S.
source : cercle non conforme
vendredi 9 janvier 2015
SURTOUT PAS D'AMALGAMES
Kaled KELKAL
Mohamed MERAH
Cherif et Said KOUACHI
A l'unisson de la clique médiatique et politique, "surtout pas d'amalgames", ces chances pour la France, modèles d'intégration, nous délivrent à leur manière, certes un tantinet virile, le message de tolérance de paix et d'espoir prêché dans les innombrables mosquées du pays.
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