motards pour la liberté


vendredi 16 mars 2012

blood for blood

le 19 mars 2012, les élites dirigeantes de la France à genoux célèbreront sans vergogne le cinquantenaire des accords de la honte d'Evian lesquels instauraient le cessez le feu entre l'état français et les terroristes du FLN,et marquaient le début des enlèvements et des massacres d'européens sous le regard bienveillant des autorités françaises qui reçurent l'ordre de ne pas intervenir. Comble de l'ignominie, le 2ème bureau (services de renseignements)connaissait les lieux de détention des européens enlevés. Il connaissait également le sort réservé à ces malheureux, servir de donneurs de sang "volontaires" jusqu'à épuisement des stocks. Honte à ceux qui restèrent les bras croisés. Ces méthodes immondes rappellent avec quelques décennies d'écart, les enlèvements de civils serbes dont les organes furent revendus à la découpe par les bouchers albanais.
Sans entrer en considération sur les options politiques qui auraient permis ou non de maintenir les territoires d'Algérie dans le giron de l'état français. Le devoir impose de protéger et de venir en aideux peuples blancs là où ils se trouvent menacés, au besoin en imposant un Homeland Blanc dans les territoires les plus appropriés. Il probable que cette notion d'homeland blanc soit mise en exergue dans un avenir proche, songeons à l'Afrique du Sud ou à certaines régions d'Amérique.

Enfin, puisque les tartuffes se gobergeront dans les salons de la république pour fêter cette date symbole de trahison, nous nous souviendrons et nous honorerons la mémoire d'une famille européenne martyre de l a lâcheté et de la haine.

Paris “…C’est vers 14h 30, jeudi 1er mars. que des groupes de Musulmans ont fait irruption dans la conciergerie du stade de la Marsa à Mers-el-Kebir, tout prêt de la base miliaire.

Au cours d’une véritable crise de folie meurtrière collective, ces hommes ont tué sauvagement la gardienne, une jeune européenne de 30 ans, Madame Josette ORTEGA, et ses deux enfants André 4 ans et Sylvette 5 ans.

La jeune femme fut massacrée à coups de hache, tandis que dans un réflexe de mère affolée elle tentait de s’interposer entre les musulmans déchaînés et son petit garçon. Puis les déments brisèrent le crâne du petit André contre le mur.

Alors qu’ils allaient partir, leur forfait accompli ils aperçurent la petite fille qui rentrait du jardin, des fleurs dans les bras. Aussitôt l’un des hommes la saisit par les pieds et lui écrasât la tète contre la muraille.

Quand Monsieur Jean ORTEGA, employé à la direction de la construction navale, les corps des malheureuses victimes baignaient dans une mare de sang…

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